La puissance et la nature du rayonnement lumineux des systèmes d’éclairages utilisés pour le recensement des espèces en période hivernale  semblent être une préoccupation mineur pour certain « chiroptèrologue », pourtant l’utilisation  d’un matériel adapté semble être de rigueur, étant donné « l’impact de dérangement ». Ne confondons efficacité et confort. 

Ne renouvelons pas les erreurs du passé ! De la même façon que nos prédécesseur on pu capturer à l’épuisette des colonies entières dans les cavités afin les transporter en sacs dans un lieu plus « pratique » pour effectuer des mesures et un comptage en détail. Aujourd’hui on utilise des spots halogène de fortes puissance (portatif ou carrément relié à un poste électrogène) pour avoir assez de luminosité afin d’identifié et compter les chiroptères ! La négligence étant de ne pas considérer la température que dégage se genre d’équipement, alors que c’est le facteur le plus susceptible de déranger une chauve souris en léthargie. Une élévation de la température ambiante provoquera sont activation, avant le bruit et l’intensité lumineuse (flash)…En spéléologie le pratiquant n’est pas censé ignoré que dans un espace restreint la chaleur qu’il dégage est l’ennemi mortelle des chauves souris en hibernation et que l’on doit s’efforcer de rapidement passer son chemin plutôt que de rester les contempler, sous peine provoquer un réveil  qui peu leurs être fatal avant la terme de l'hivers. La solution est pourtant à notre portée… Les éclairages à incandescence dégage beaucoup de chaleur par rayonnement infrarouge et convection, elle on  un rendement déplorable et se rapproche davantage d’un radiateur qui dégage un peu de lumière ! Les lampes à fluorescence dégage peu de calorie mais les possibilité d’orientation et de portée du rayon lumineux n’est pas satisfaisante (lumière diffuse). L’évolution des éclairages à led semble lui bien répondre au « cahier des charges ».

 Une Led de trois watts fournit plus de lumière qu’une ampoule à incandescence de vingt watts ! Car elle à un bien meilleur rendement , elle chauffe moins, sont spectre lumineux étant plus décalé dans l’ultraviolet. Malgré le développement des éclairages spéléo  visant à remplacer l’utilisation des lampes acétylène, de telles lampes ne sont pas facilement disponible dans le commerce, de plus elles demeurent coûteuse voir dangereuse, car recevoir un faisceau de ce type et de forte puissance dans l’œil est aussi nocif que de regarder directement le soleil ! La solution consiste à recyclé votre éclairage halogène en y adaptant un système à led de haute capacité lumineuse couplé à une gestion électronique à découpage de l’alimentation,  plutôt qu’une simple résistance, afin d’augmenté encore le rendement et  l’autonomie avec une calibration constante du courant adapté à ce supraconducteur.